Lorsqu’une personne souffre d’une maladie, elle cherche à se soigner en faisant recours à plusieurs méthodes. Cependant, pour certains maux comme l’arthrose, il existe des remèdes précis. Ainsi, il convient de se renseigner sur ces traitements afin de choisir ce qui convient à l’état de santé d’une personne. En réalité, pour soigner l’arthrose, un individu a le choix entre la thérapie, la consommation d’anti-inflammatoire ou d’antalgique et le recours à la chirurgie. Tout savoir sur la façon la plus efficace de remédier à une arthrose dans cet article.
Une thérapie
La thérapie désigne un ensemble de procédés qui permettent d’éliminer un mal ou de réduire ces effets. Dans le domaine de la santé, il y a des thérapies psychologiques pour modifier le comportement et celles physiques (psychothérapie) qui ont pour but la lutte contre les douleurs. La particularité de la psychothérapie est qu’elle se fait par des professionnels. En matière d’arthrose, le professionnel vous soumettra à certains exercices en se basant sur votre état.
Parmi les divers exercices qui interviennent dans la diminution d’une arthrose, il y a la massothérapie qui se fait par :
- Le pétrissage ;
- L’effleurage ;
- Le ponçage ;
- La pression glissée.
En plus de la massothérapie, certaines thérapies se font par l’usage des ondes électromagnétiques, des ultrasons ou du courant électrique. Il est à noter que la pratique de ce traitement se fait dans des centres spécialisés. Les professionnels de ces centres peuvent aussi se déplacer vers vous au besoin.
Un anti-inflammatoire
Comme le nom l’indique, l’anti-inflammatoire désigne un produit ou médicament dont l’utilisation permet de limiter l’inflammation au niveau de vos ligaments. En réalité, une arthrose survient suite à une inflammation de ces ligaments. L’usage d’anti-inflammatoire en limitant l’inflammation des ligaments permet donc de réduire l’arthrose. Hormis cela, l’usage d’anti-inflammatoire est une solution efficace dans la lutte contre les lésions de vos articulations.
Il est à noter que le choix d’un anti-inflammatoire nécessite la connaissance des différents types qui sont disponibles. Vous pouvez choisir les stéroïdiens ou ceux qui sont non stéroïdiens (AINS). Le premier s’administre par injection dans les articulations et pour le second, vous devez avaler des capsules. Il convient de souligner qu’un anti-inflammatoire non stéroïdien s’utilise avec beaucoup de précautions. En effet, lorsque vous atteignez un traitement de 10 jours avec ce produit, il est recommandé de recourir à un médecin. Hormis cela, la consommation d’un AINS n’est pas conseillée aux personnes ayant des problèmes gastriques.
Opération chirurgicale
La chirurgie représente une technique qui consiste à procéder au remplacement d’une articulation où le ligament est endommagé. Au cours de cette opération, le professionnel (chirurgien) remplace la partie endommagée par la prothèse adéquate. Par ailleurs, ce type d’opération se fait en dernier recours lorsque les autres méthodes n’ont pas donné de meilleurs résultats. En plus de cela, le spécialiste doit tenir compte de certains paramètres dont :
- Votre âge ;
- Votre état de santé général ;
- L’intensité à laquelle vous ressentez les douleurs ;
- La fréquence de ces douleurs.
Hormis cela, la probabilité que votre mal s’aggrave quitte à causer un handicap est un facteur qui peut conduire à la réalisation d’une chirurgie.
Un antalgique
Souvent utilisé pour lutter contre la migraine ou les céphalées, l’antalgique encore nommé analgésique est très efficace dans la réduction de la douleur. Ainsi, lorsque vous ressentez des douleurs dans vos articulations, vous avez la possibilité d’en consommer, quel que soit votre style de vie. Comme antalgique, vous pouvez prendre 1000 mg de paracétamol chaque fois que vous avez mal. Toutefois, il faut respecter un intervalle de 4 heures en prenant ce médicament. Lorsque la douleur persiste, il est impératif de se rendre à l’hôpital.
Hormis le paracétamol, vous pouvez trouver en pharmacie d’autres médicaments qui contiennent la même substance. Il s’agit de l’Efferalgan ou du Doliprane que vous ne devez pas consommer à la fois, ou en interaction avec quelconque paracétamol. Par ailleurs, la consommation de l’un de ces produits en automédication se fait avec lecture attentive de la notice qui vient avec le produit. Il faut également adopter une bonne alimentation afin que les différents traitements soient efficaces.
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